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Titre de l'article
CONSTRUCTION DU SIEGE SOCIAL ET RENOVATION DU BUREAU REGIONAL DE LA CCQ

Auteurs
Christine Barbeau
Imen Belounis
Juan Fernando Castro Cedron
Perrine Crepin


Date du projet
2012

Date de publication
2013

Ville,Pays
Montréal, Canada

Usage
Autre

Type de client
Privé

Enjeux
Autre

Code
00059

Mots clés
Construction durable, parties prenantes, LEED

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Resumé
Afin de satisfaire son besoin grandissant d’espace de travail, la Commission de la Construction du Québec (CCQ) a entamé en 2007, en tant que donneur d’ouvrage, la construction de son nouveau siège social et la rénovation de son bureau régional dans l’arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville à Montréal.
La CCQ a eu plusieurs défis à relever en visant la réalisation d’un projet qui devait refléter sa mission en tant qu'organisation qui assure l'application de la loi R-20 sur les relations de travail, la formation professionnelle et la gestion de la main-d'oeuvre dans l'industrie de la construction. Premièrement, elle devait assurer son intégrité et son exemplarité dans le respect des réglementations de la Loi R-20 et des règlements qui y sont associés, deuxièmement, elle devait assurer l'achèvement du projet dans les délais et, troisièmement, elle voulait montrer l’exemple en matière de construction durable en obtenant la certification «LEED Argent». Ces enjeux liés à l’image de la commission ont nécessité de sa part une implication totale dans la prise de décisions en matière (i) de conception, (ii) d’administration, (iii) de gestion du chantier et (iv) de participation des parties prenantes externes, incluant les voisins (CCQ, 2011).
Face aux difficultés liées aux trois grandes exigences que la CCQ s’était fixées, certaines mesures ont été mises en place : (i) la mise en place d’une équipe de projet intègre et coordonnée, (ii) la définition d’un programme fonctionnel et technique avec un suivi hebdomadaire de l’avancement du projet, (iii) l'anticipation des réactions citoyennes quant aux désagréments que peut susciter le projet, (iv) la détermination de trois niveaux de gestion de la qualité et (v) l’intégration de solutions techniques innovantes. Ces mesures ont minimisé les effets des imprévus, ont assuré la satisfaction du donneur d’ouvrage et des voisins et ont également permis d'atteindre les exigences établies par la CCQ en matière d’intégrité.